Une équipe française a suivi près de 7 000 prématurés nés entre la 22e et la 34e semaine d’aménorrhée, en 2011. Les résultats obtenus ont été comparés à une étude similaire réalisée en 1997. Conclusion : la survie des grands prématurés en France s’est nettement améliorée.
À noter toutefois que la survie reste rare avant la 25e semaine d’aménorrhée et que chaque semaine de plus passée dans le ventre de la mère augmente les chances de survie de l’enfant et réduit le risque de développer une pathologie grave. Les résultats à long terme de l’étude permettront d’avoir des informations sur le devenir de ces enfants.
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