Pour prendre un grand bol d’air frais, mieux vaut se promener sur les Champs-Élysées que dans les couloirs du métro… L’air de certaines stations de métro serait chargé de particules fines, selon les premiers résultats d’une étude de AirParif, qui devrait durer jusqu’à 2018. Au métro Saint-Michel, par exemple, la qualité de l’air serait semblable à celle des jours d’alerte pollution à Paris. Néanmoins, ce n’est pas le même type de particules qui circulent dans le métro. Le freinage des trains libère des particules un peu plus grosses. Par ailleurs, ce taux de pollution dépend des stations, de l’aération ou encore de la fréquentation. Et certains polluants, comme le benzène, sont moins présents sous terre. Les plus exposés à la pollution du métro restent les employés du service de transports.





