L’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a autorisé en novembre la greffe d’utérus provenant de donneuses défuntes. Cette greffe permettra de faire avancer la recherche pour les femmes nées sans utérus ou ayant dû subir une ablation de l’utérus (hystérectomie). En Suède, une greffe d’utérus a permis en 2014 à une femme de 36 ans, née sans utérus, d’avoir un enfant grâce à la transplantation de l’utérus d’une femme ménopausée de 61 ans. L’essai clinique français débutera en 2016 au CHU de Limoges.
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