Une équipe anglo-saxonne semble le penser. À l’issue d’une étude clinique visant à étudier les effets neuroprotecteurs des anti-diabétiques, les chercheurs de Londres et Baltimore se sont rendu compte qu’une molécule, l’exénatide, permettait d’améliorer, bien que modestement, les scores de motricité des patients atteints de la maladie de Parkinson. Cette étude prometteuse en appelle de plus vastes afin de confirmer ces résultats.
0
0
0
0
0
0