En cherchant à comprendre le fonctionnement de la parathormone (PTH), qui fortifie les os des patients, des chercheurs du Massachussets viennent de découvrir une molécule qui aurait des effets similaires. La PTH, très coûteuse, est actuellement utilisée en injections quotidiennes chez les patientes souffrant de plusieurs fractures. Celle-ci, sécrétée au niveau de la thyroïde, participe à la reconstitution des ostéocytes, cellules osseuses dont la dégradation est à l’origine de l’ostéoporose. L’utilisation de cette nouvelle molécule pourrait être envisagée afin d’augmenter la densité minérale osseuse des patients, limitant ainsi le risque de fractures en cas d’ostéoporose.
Un espoir dans le traitement de l’ostéoporose
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