C’est une position progressiste qu’a prise début juin l’Académie nationale de médecine. Elle s’est déclarée en faveur de l’autoconservation d’ovocytes pour convenance personnelle, chez les femmes soucieuses de conserver leur fertilité, même si elles n’ont pas immédiatement un projet de grossesse. Si la loi est modifiée dans ce sens, elle ne concernera que les femmes de moins de 35 ans. Les hommes peuvent eux déjà conserver leur sperme dans des cliniques privées. Un pas de plus vers l’égalité hommes/femmes donc.
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